Sincères condoléances à la famille ...dernier souvenir d elle ..je suis allée la voir seule ..dans *la dame de cent ans*....excellente ..belle sensibilité ..après je suis allée lui parler..ma mère aurait été dans sa classe à l adolescence ...elle avait toujours son beau sourire ..je garde de beaux souvenirs ..aussi de *rue des Pignons* ..et Kamouraska..entre autres...et du très beau documentaire de Pascal Gélinas ....c est une femme très inspirante ...qui donne le goût de bien vivre ..comme elle le démontre jusqu à la fin de sa vie ..Merci ma belle madame Huguette ...d une admiratrice louise 

Mes plus sincères condoléances à vous, chère famille, qui avez entouré de votre amour la grande Huguette Oligny. Elle m'a touché profondément à travers ses personnages et sa riche personnalité. J'espère sincèrement que sa lumière continuera à briller encore longtemps dans nos esprits et nos cœurs.  

J'ai eu le bonheur de connaître Huguette Oligny quand elle habitait au 8851, rue Foucher, avec sa mère, la journaliste Odette Oligny et sa soeur Monique. J'habitais le rez-de-chaussée et Huguette, au premier étage. J'avais 17 ans.
J'ai bavardé souvent avec elle. Elle était fort gentille. Je suis allé souvent chez elle; elle m'apprenait à dire la fable Le Lion amoureux de La Fontaine. Pour la remercier, je lui ai offert une clochette en argent. Plus tard, quand j'allais la saluer après un spectacle, elle me disait toujours : " J'ai encore votre clochette, j'aime son timbre, c'est comme le chant d'un oiseau."
Aujourd'hui, la belle voix d'Huguette s'est éteinte et j'en suis fort triste.
Je garde d'elle, le souvenir d'une femme entière, généreuse, qui prenait le temps d'écouter et d'aider le jeune homme que j'étais.
Belle leçon de simplicité.
Paix à sa grande âme.
Jacques Laurin


Cher Jean , c'est avec tristesse que j'ai appris la mort de ta mère que tu aimais tant,
Je pense à toi et Anne, affectueusement.
Elisabeth


Chère Anne,
Mes plus sincères condoléances à toi, ton frère et à vos familles. Je viens de voir le magnifique et très touchant documentaire de Pascal Gélinas concernant ta mère et je t'ai reconnue; tu n'as pas changée... si ce n'est que de ta chevelure noir jais. Nous nous sommes croisées à la fin des années '70 alors que tu faisais et de la traduction, je crois, et lors de nos conversations sur l'heure du dîner au Carré Dominion et à la Place du Canada j'ai senti combien l'absence de ta mère dans ton enfance t'avais marquée. Je suis très heureuse d'apprendre que vous vous êtes retrouvées. Lorsque que tu as décrit la femme qu'elle était toujours alors que vous avez dû l'amener à accepter de déménager en résidence, tu m'as tout à fait rejoint. J'en suis présentement à ce stage avec ma propre mère qui, je crois, partage avec la tienne cet esprit d'indépendance qui l'amène à résister. Oh combien nous sommes chanceuses d'avoir vécu avec ces femmes au fort tempérament qui, à la fin de leurs jours, nous prouvent la douceur de leur coeur. Mes pensées sont avec toi.

AVIS DE DÉCÈS

Huguette Oligny

31 janvier 1922 – 9 mai 2013

Centre funéraire Côte-des-Neiges

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