Mon beau-frère, mon partner de vaisselle (zone de pet). 
Je ne garde que de bon souvenir de ces presque 2 années à te côtoyer. Que ce soit tes hoquets bruyant qui me surprenais à chaque fois (je me demande encore s'ils étaient réelle). Lorsque tu me faisais faire le tour des rénos que tu avais effectué avec minutie cher toi.Ton surprenant coté cordon bleu lorsque tu nous avais concocter tout un souper en nous recevant cher toi. L'air que tu faisais lorsque t'a mère te donnais trop d'amour à ton goût haha. Les nombreux rires que nous avons eu ainsi que ta rapidité d'esprit. 

Tu nous as quitté beaucoup trop vite mais tu vivras à jamais dans nos mémoires et nos cœurs xxx

Mon grand frère, maintenant devenu une étoile bien brillante dans le ciel. Tu as toujours été un ange gardien pour moi, depuis notre tendre enfance et je sais très bien que là où tu es, tu continueras à veiller sur ta petite sœur. Dès notre plus jeune âge, tu jouais déjà au héros... chaque fois que tu m'entendais hurler : IL Y A UNE ARAIGNÉE !!!!! PO !!!!! AU SECOURS!!! Eh bien, tu venais toujours tranquillement avec un mouchoir pour la tuer, ou plus tard, la prendre par la patte, me niaiser avec et finalement la relâcher dehors! 
Étant un grand frère sage, rangé et à son affaire, j'avais toujours l'air de la petite dernière rebelle et délinquante! Par contre, tu as toujours su me donner un coup de main si j'avais besoin d'aide ! En réalité, nous avons appris l'entraide ensemble. Ce n'est pas tout le monde qui pouvait se vanter d'avoir un prof d'anglais à la maison.. Eh bien moi, oui ! Quand j'avais besoin d'aide, j'allais cogner à la porte à côté de ma chambre. En retour, tu savais que pour de l'aide avec le français, tu n'avais qu'à venir cogner à la mienne ! C'est toi qui m'a donné un peu de ton amour pour les jeux vidéos. Tu m'as appris a être bonne à diablo, à Age of empire, à Mario et surtout à Zelda... pour toi, jouer aux Barbies avec ta petite soeur n'avait pas vraiment d'intérêt, mais la guider dans les différentes quêtes de Zelda, ça, ça pouvait nous faire passer des heures et des heures ensemble dans le sous-sol !! :) 

Le rôle d'un grand frère est de taquiner les plus jeunes... Je te garantie que tu as réussi avec brio ! Combien de fois, je me suis fait "garocher" dans la piscine pendant un souper dans la cours, ou fait arroser à travers la fenêtre de la cuisine pendant que tu faisais la vaisselle ! Je vais toujours me souvenir de nos "tiraillages" dans le sous-sol sur le flip-flop déplier qui nous servait de ring !! De la fois où tu m'as prise, virée à l'envers pour passer la moppe avec mes longs cheveux... Parce que oui, tu étais environ un pied plus grand que moi, depuis toujours!!

Mais, je te dirais.. que de taquiner les gens que tu aimais, était une véritable passion !! Un de tes incontournables était de toujours cacher la maudite tête à coiffer " la MAROTTE" partout dans ma chambre, dans mon lit, dans mes tiroirs ou dans ma garde-robe, pour ensuite m'entendre crier dès que je la trouvais...
Mais ton meilleur coup d'entre tous... a réussi grâce à ta patience légendaire... le coup de la sonnette... Faut le faire.. penser à cette douce vengeance était brillant tout simplement. Cacher une sonnette ( de porte ) dans mon sommier de lit... pour ensuite la faire sonner grâce à son interrupteur à travers le mur de nos chambres.. à n'importe quelles heures du jour ou de la nuit.. pendant 2 ou 3 semaines...WOW !! C'est décidément le meilleur moyen de rendre sa soeur complètement folle! Je te félicites encore pour se coup !! 

J'aurais tellement d’anecdotes à raconter, mais il y en a beaucoup trop pour toutes les écrire...J'ai adoré tous les moments où j'ai pu être en ta compagnie, que ce soit durant notre cohabitation dans la maison familiale, durant nos activités (arbraska, les glissades d'eau, le ski, les sorties etc) ou simplement en tant qu'adultes, lorsqu'on s'invitait à manger chez l'autre. Tous ces moments remplis d'amour vont terriblement me manquer. 

Malheureusement, la vie n'est pas toujours bien fait, dans ce cas.. je me permets de dire qu'elle a été CRISSEMENT injuste... ( oui désolé, c'était un sacre conjugué ) 

Ta présence nous manquera à tous, elle nous manque déjà. Mais sache, que moi, ta petite soeur, parfois détestable, parfois drôle, jamais ponctuelle, mais toujours très...trop affectueuse, je t'aime infiniment fort, et ce, à jamais. 

Je te dis merci pour m'avoir, tant appris, diverti, écouté et aimé durant ces 27 dernières années.

On se revoit dans quelques (plusieurs) années mon vieux ! J'ai hâte de te revoir, mais je ne me presserai pas, je sais que tu nous attendras, un bon verre à la main.

 Mon loup solitaire, je t'aime à jamais. xxx



Cher Jean-Pierre, 

C'est avec un très grand chagrin que nous avons appris cette triste nouvelle. Sache que nous sommes avec toi en pensée ainsi qu'avec toute ta famille et partageons ta douleur. Nous aurions aimé pouvoir être près de toi en cette journée difficile mais nous sommes malheureusement à l'extérieur de la région. Nous te souhaitons bon courage.

Roger et William Levesque

Nous vous souhaitons les plus sincères condoléances dans cette terrible épreuve et sommes avec vous de tout coeur et en pensées, ne pouvant être parmi vous physiquement aujourdh’hui.
On vous souhaite beaucoup de courage,
Mario et Diane

Grippé comme je le suis, je ne vois pas comment je pourrais me présenter à vous sans également risquer de vous contaminer.

Cette décision reportée jusqu’à la dernière minute ne saurait néanmoins amoindrir la douleur partagée dont Monique et moi voudrions vous faire part à toi, Danielle, Bruno, Julie et tous le clan des Baril.

En mai 1977, mes parents, ma soeur Louise et moi avons vécu la mort accidentelle de Guy mon frère aîné, également âgé de 27 ans...

Maintenant que le deuil s’est amoindri, les bons souvenirs prennent toute la place et il n’est pas rare que Guy revive également dans mes rêves.

Puisse le temps amoindrir cette douleur omniprésente qui présentement vous martèle de toutes parts.


P.O. j'était fier de pouvoir t'appeler cousin. Tu vas me manquer et tu vas manquer a tous les barils.

. 

Pierre-Olivier, tu vas nous manquer, on t'aime beaucoup et tu vas rester avec nous dans nos coeur. Veille sur ta petite famille.



PO 
C’est dur de penser que ton petit sourire ne sera plus des nôtres, que tu es parti pour de vrai et qu'on entendra plus tes taquineries! J’ai de la misère à me sortir de la tête ces 30 minutes interminables du 29 Décembre. Le stress, le sentiment d’impuissance, la peine, l’injustice!!! Il n’y a pas de mots pour d’écrire ce moment difficile que nous avons vécu....mais il existe une panoplie de beaux souvenirs auxquels on peut s’accrocher.
Peut-être que je ne te connaissais pas depuis des années, mais il faut dire qu’être la blonde de ton ami d’enfance a fait en sorte que je passe beaucoup de temps avec toi et Kev. Il n’a pas fallu longtemps pour que vous deveniez plus que les amis de mon chum, mais dans mon cœur les miens aussi. Les 3 grands garçons avec lesquels j’aime passe du temps au chalet et avec lesquels je me sens jamais jugé d’avoir les cheveux sales et de rester en pyjama jusqu’à midi :) c’est ça la vie de chalet non?! Que dire du non jugement de mes supers talents aux jeux vidéo.. J’ai beau être souvent la dernière dans les courses, mais tu me donne toujours une manette pour me joindre à votre game.
Je dois aussi dire que les nombreuses niaiseries et les « peur » de notre Félix adoré auront eu aussi raison de notre complicité ;) surtout grâce aux films de peur et à la force que tu peux user pour le ramener a l'ordre (gentiment)  ------Je repense à toutes les fois où tu as alimenté le feu pour tenir tout le monde au chaud... au mariage de Mathieu et Judith où tu es sorti m’ouvrir le parapluie comme un vrai gentleman, car contrairement à toi.. j’étais déjà toute prête! Je repense à tous les week-ends au chalet à jouer a la wii, à des jeux de sociétés, à notre journée à la ronde où il faisait fret en tabarouette, à tes drink partagés, à l’avant-midi arbre-en-arbre où j’aurais voulu t’arracher la tête à force de faire bouger les modules. Je repense à ta face quand tu as vu que tu devais aller te mouiller pour défaire le barrage de castor parce que Kev et Félix n'était pas capable à deux...On en a passé du temps tout les 4 (la petite clique de jeune)... ca n'arrivera plus-------
Parfois j’avais l’impression d’être en face de la version masculine de moi-même! Quelqu’un qui n’aime pas l’eau..ni le froid! Qui est  attentionné et qui pense aux autres avant lui-même. Quelqu’un d’introverti mais qui sort de sa coquille plus on le connaît et moins il y a de gens autour. Quelqu’un de pas trop sorteux. Quelqu’un qui a la dent TRÈS sucré et  qui aime beaucoup la viande aussi. Quelqu’un de calme et de posé qui sait écouter.------Beaucoup chose ne seront plus pareilles...----Avec qui je partagerai des beignes aux patates.-----A qui je vais donner la plus grosse part de gâteau ou divulguer la cachette de chocolat.-----Avec qui je vais m’assoir sur le bord du quai. ---J’ai de la peine pour mon  Felix qui perd un frère et j’ai de la peine d’avoir perdu un ami cher à mes yeux.------Dans ce malheur, nous pouvons au moins dire que tu es parti heureux. Ces 2 dernières journées tu les auras passé avec tes amis qui t’adore, tu aura cuisiné des crêpes et ton chili dont tu étais si fier. Tu es parti joyeux à l’idée d’acheter une nouvelle douillette pour ton chez-toi.  --  Tu es maintenant une étoile de plus qui brille dans mon ciel et celui de bien d’autre! Prends soin de nous de la haut .. Je prendrai soin de Félix du mieux que je peux --- On ne t’oublieras jamais <3


Mon cher PO, je suis toujours sous le choc de ton départ aussi soudain. J’entends encore la peine et la détresse de ta mère qui m’annonce cette tragédie. Je n’oublierai jamais ce moment. Une peine immense envahissait tout mon être et la douleur était foudroyante! 
Depuis le 29 je te souhaite bonne nuit à tous les soirs avant de m’endormir et je prie que tu sois bien là ou tu es! Quand tu étais gamin je t'ai gardé comme tous tes cousins. J’ai joué et ri avec toi, j’ai même fait le père noël pour toi à ton un an passé. J’ai des beaux souvenirs de toi enfant et quel  homme merveilleux tu es devenu; beau, fort, intelligent et respectueux des gens et de tes parents! Merci d’avoir été là pour moi un certain déménagement, ton calme était rassurant ainsi que ton sourire! Je suis si heureuse de vous avoir visité au mois de novembre avec ta Grand Mie tu étais fier de ton logement et tes projets, j’étais heureuse de partager ça avec toi et cette même journée la causette à coté de ta voiture, le temps d’en griller une. Mais, par dessus tout, cette dernière rencontre le jour de noël, tu étais content de nous voir, tu étais en vacance et avais toute la vie devant toi, du moins c’est ce que je croyais…Ce fut la dernière fois que Grand Mie et moi t’avons pris dans nos bras et avons pu te témoigner notre amour. Je bénie ce noël et ta grand mère aussi! Pierre Olivier tu es un beau diamant brut que la vie n a pas eu le temps de trop cisailler alors brûle de tous tes feux. De là haut éclaire nos cœurs de ta lumière. J’ai toujours trouvé que tu étais un ange maintenant que tu as eu ta promotion et que tu as tes ailes, veille sur nous tous. Je ne te dis pas adieu car tu es dans mon cœur et y vivra à travers celui-ci mais au revoir mon grand, repose en paix.
P.S. : Si j ai la chance de me rendre en Irlande, j’essaierai d’aller voir l’Écosse en pensant à toi! Je t’aime PO.


Au revoir mon cher Pierre-Olivier. Comme le dit si bien ton prénom, tu étais solide comme la pierre et l'olivier, un digne symbole de paix et de gloire. Tu as su semer le bonheur autour de toi. Je garderai toujours en mémoire la douceur agréable de tes cheveux courts comme un «Kiwi», ainsi que ton sourire en coin et ton regard taquin. Maintenant assis sur ton nuage douillet, veille sur nous tous. Nous somme heureux d'avoir pu passer ces années auprès de toi. On se reverra assurément... c'est un rendez-vous

La perte d’un être cher est douloureuse.
Si l’on peut concevoir qu’un parent âgé ou un proche gravement malade nous quitte éventuellement un jour, il en est autrement d’un être au début de sa vie d’adulte spécialement pour ses parents et sa fratrie.
Absurde, impensable sont les premières pensées qui nous viennent spontanément à l’annonce d’une telle disparition dans la grande famille élargie tissée comme la nôtre qu’est la famille Baril.
L’image de Pierre-Olivier, qui partageait plusieurs caractéristiques avec son grand père Lomer, homme physiquement imposant de peu de mots qui préférait l’écoute à la parole, passionné par son métier, restera gravée pour toujours dans la mémoire collective.  


Cher cousin,
nous sommes profondément bouleversé par ton depart. On oubliera jamais ton beau sourire et tes remarques taquines. Tu resteras dans nos coeurs pour toujours. 
Pour Danielle, Jean-Pierre, Julie et Bruno, 
nous aimerions vous réconforter, mais nous savons qu’aucun mot peut soulager votre peine. On espère que vous trouverez au fond de vous la force et le courage nécessaires pour surmonter cette épreuve. Nous partageons votre douleur en ce moment de deuil et tenons à ce que vous sachiez que nous sommes de tout cœur avec vous.
Toutes nos pensées vous accompagnent.

Martin et  Melanie xxxxx


Il n'y a pas de mots pour exprimer à quel point nous sommes affligés par la dure perte que vous vivez et ce vide qui sera occasionné par cette très grande et malheureuse perte de PO.
Puisse Pierre-Olivier veiller sur vous tous à titre d'ange et que nos sympathies vous apportent réconfort et courage dans cette épreuve.
Line, Denis, Daniel, Karine, Joëlle

A vous Jean-Pierre et Danielle, mes pensées sont avec vous.  
A Patrice, Chantal, Marie-Pier et Fredérique, je connais l'important de ce cher PO dans vos vies, il resteras à jamais dans vos coeurs.
A la soeur et au frère de PO ainsi que tous les autres membres de la famille Baril, mes sympathies.
Sylvie

Au revoir mon petit P.O.. J'espère que tu vas continuer à rire de mes jokes poches en-haut. x x x :) 

P.O. t'est parti trop vite, trop jeune, c'est trop triste à l'aube de ta vie. C'est un cruel destin pour tes parents, ta famille et tes amis. Ton sourire, ta prestance et ton air taquin vont terriblement nous manquer. Nous vont offrons Jean-Pierre, Danielle, Bruno, Julie ainsi que vos conjoints nos plus sincères sympathies. Nous sommes de tout cœur avec vous.
Pierre-Olivier veille sur nous. Pierre-Olivier on t'aime et tu seras toujours dans nos cœurs.
Loulou et Gilles

Pierre-Olivier, je n'aurais jamais imaginé vivre la fin d'année 2017 que j'ai vécue. Un événement tragique est survenu. J'ai perdu un ami de toujours, un ami fidèle que je peux comparer à un frère. Cette perte est d'autant plus tragique qu'elle survient à la suite d'une super soirée que tu as eu avec tous tes amis les plus proches. Bien que je sois énormément peiné, je n'ai pas envi d'écrire ici des choses négatives. 

Pierre-Olivier, tu as été le premier ami que je me suis fait à l'extérieur de ma rue. En fait, tu as été le premier dans plusieurs choses ! Je me rappelles que tu étais le premier à avoir du poils au primaire. Le premier à rire d'un film d'horreur poche, en fait le seul. Le premier à se faire pousser le "pintch" jusqu'à pouvoir en faire des tresses (je ne dis pas que je trouvais l'idée bonne). Le premier à se porter volontaire pour aider un ami... 

Il y a tellement de souvenirs qui me viennent en tête en écrivant ces quelques lignes. Je me limiterai à quelques uns :

1- Nous étions au primaire entrain de jouer dans la cour d'école. Un certain Daniel Desforges est venu m'écoeurer. La tension a monté et la violence verbale s'est transformé en intimidation. Tu t'es tranquillement mis à coté de moi même si tu n'étais pas impliqué dans l'altercation. D'un coup, tu as sauté sur Daniel en lui criant d'arrêter de m'écoeurer. Tu l'as mis à terre pour me défendre avec ta force surhumaine pour un enfant de 12 ans. Honnêtement, c'est la seule et unique fois que je t'ai vu fâché. Tu t'es fâché pour défendre un ami. Je ne sais pas si je devrais dire ça, mais j'étais fier de toi P.-O. Fier de mettre entourer d'un ami qui pouvait me défendre. Fier d'avoir un ami qui m'aime assez pour intervenir physiquement dans une altercation qui ne le concerne pas. 

2- Tu faisais beaucoup de vélo jeune. Je me rappelles que tes parents te forçais à mettre un casque de vélo. Dieu que tu haïssais ça. Tu tournais le coin de la rue Vilmur et enlevais aussitôt, le regard de tes parents disparus ! Même chose lorsque tu revenais chez toi. Tu partais sans casque et rendu à la rue Vilmur, tu prenais le temps de débarquer de ton vélo pour remettre ton casque. Ni vu, ni connu ! 

3- Je t'ai initié au jeu World of Warcraft. Je n'aurais jamais du ;). On va ce le dire, à un certain moment, tu jouais trop ! Durant une période, tu ne répondais plus beaucoup à ton cellulaire et restais enfermé dans ton sous-sol, mais j'avais un truc ! Je partais de chez nous à pied et venais m'asseoir devant ta fenêtre du sous-sol jusqu'à temps que tu regardes pas la fenêtre. Tu souriais alors et m'accueillais dans ton sous-sol sacré les bras ouverts. Tu m'expliquais tout ton "set-up" comme seul toi savais raconté. Je me suis toujours demandé comment tu pouvais parler avec autant de passion de chose aussi banale. Tu n'étais pas le plus jasant dans un groupe, mais d'un à un, tu discutais de ton quotidien comme si tu avais la vie d'un homme riche et célèbre. Ça va me manquer...

4- Le chalet. Tu adorais venir au chalet. Tu m'envoyais souvent des messages subtiles pour te faire inviter. Honnêtement, j'attendais avec impatience que tu te manifestes pour inviter Kévin et partir. Quand on partait pour le chalet, tu devenais carrément comme un grand frère. Tu faisais partie de la famille avec tes petites habitudes. Le matin, tu te levais, prenais le sac à pain et engloutissait 8 tranche de pain, non toastées avec du Nutella. Non mais qui ne fait pas cuire ses toasts le matin ! Je ne comprenais pas comment on pouvait manger autant de nourriture le matin. Ensuite on sortait dehors. On allait au lac, mais toi tu te baignais pas. Tu haïssais l'eau. Je ne sais toujours pas aujourd'hui si tu sais nagé ! Quand tu te tannais, tu prenais une petite hache et allais dans les bois. Tu revenais avec des bâtons que tu préparais pour les guimauves. Tu semblais tellement heureux et à l'aise. J'ai tellement de souvenir de toi au chalet que je ne pourrais jamais faire autrement que de te voir partout. 

P.-O., ton départ est très difficile pour moi. Je ne sais pas si tu réalise à combien tu étais important dans ma vie. Je suis quelqu'un d'anxieux et tu savais comment me calmer. Ta présence était rassurante et bienveillante. Tu veillais carrément sur les personnes que tu aimais et j'ai eu la chance de faire partie de ces gens. Je crois avoir aussi à ma manière avoir veillé sur toi. Je suis fier de t'avoir sortie de ton sous-sol et intégré à notre gang d'amis extraordinaires. Tu es devenu un pilier et ton départ ne fera que cimenter la base.

Je ne te l'ai jamais dit assez, mais P.-O., CRISS QUE JE T'AIME. 

Avec ton décès, j'ai l'impression qu'une partie de moi est morte aussi. Je pleure ton départ, mais chérie la relation que nous avons eu. Je garde en moi les moments que nous avons vécus. Tous tes proches ont maintenant un devoir de mémoire. Nous avons la mission de continuer à te faire vivre à travers nous. C'est avec une grande fierté que j'accepte ce défi. 

J'espère que tu vas continuer à veiller sur moi de là-haut comme tu savais si bien le faire de ton vivant. Tu vivras toujours à travers moi. Merci d'exister mon ami, mon frère. Je t'aimerai toujours. 

Félix

Avoir un parrain et une marraine qui sont en couple c’est super, mais lorsqu’ils ont des enfants de ton âge c’est encore mieux. Les rencontres et les sorties sont moins ennuyeuses pour un jeune enfant et c’est préférable si on peut faire les quatre cents coups ensemble. Faire des cabanes avec les nombreux coussins chez les grands-parents paternels, jouer aux cartes dans la roulotte familiale parce qu’il pleut averse, faire des courses de grenouille au chalet du Lac David, avoir du sable jusque dans la craque de fesse parce que nous avions joué longuement dans le pit de sable… Voilà quelques souvenirs parmi plusieurs autres que je me rappellerai à jamais d’avoir partagés avec P.O. durant ma jeunesse. 

Nos séances de jeux qui duraient des heures ont fini par se raccourcir en vieillissant, mais notre amour l’un pour l’autre n’a jamais tari. Les courses folles dans les jardins se sont transformées en grandes discussions de tous genre. Les bâtons de bois se sont transformés en jeux vidéo ou en ordinateur. Nos goûts changent, nos intérêts aussi. Je ne partageais pas toujours les mêmes choses de la vie que mon cousin, certes, mais rien n’empêchait qu’on s’intéresse aux paroles de l’autre. J’en ai fait voir des vertes et des pas mûres à ma famille, mais jamais Pierre-Olivier n’a jugé mes paroles, mes agissements ou même mes peines. Il m’écoutait toujours avec grand cœur et il plaçait des paroles réconfortantes lorsqu’il le sentait nécessaire. Ce n’était pas la personne la plus bavarde au monde, mais jamais on ne pourra contester son écoute. Je pense qu’on le reconnaissait tous par son sourire en coin qu’il avait depuis toujours. Les taquineries faisaient partie de son âme. Qui n’a jamais été la « victime » de ses petites blagues ? On dit bien qu’on taquine ceux qu’on aime non ? Un géant au grand cœur. 

La vie nous l’a enlevé trop rapidement. Je doute que son temps était réel venu, il était au mauvais endroit au mauvais moment. Il est maintenant assit au côté de nos grands-parents- paternels sur un nuage moelleux à veiller sur nous et nous envelopper de son amour et de son œil vigilant. Au lieu de nous embrasser un à la fois, dorénavant il peut nous prendre tous ensemble sous son aile. 

Tu auras toujours une place privilégiée dans mon cœur et mon âme et jamais je ne t’oublierai mon cher cousin. Je t’aimerai à jamais et chérirai les moments passés avec toi éternellement.

C'est avec tristesse que nous avons appris le décès de Pierre-Olivier. Nous désirons vous exprimer nos plus profondes et sincères sympathies pour la perte de votre fils. Nos pensés vous accompagnent en ces moments difficiles.

Je suis certain que ta présence de là-haut sera aussi rassurante qu'elle l'était ici, mais tu vas me manquer P.O.

Mon frère,
Te souviens-tu de quand : 
-	nous avons joué à cache-cache sur Des Artisans et que je t’ai fendu le front; 
-	moi et toi nous nous battions pour le contrôle de la manette quand Julie est venu nous la prendre;
-	au nombreuse fois que tu m’as accordé le droit de  passage dans ta chambre pour me montrer tes nouveaux jouets et que je les cassais. Tu n’aimais pas ça si je me souviens mais je voulais simplement voir leur fonctionnement; 
-	les innombrables combats de lutte,  encore à ce jour tu as une fiche sans défaite et où j’en ai cassé mes premières dents;
-	nous partagions une chambre ensemble et que tu n’aimais pas ma manie de bouger pour dormir; 
-	nous étions en mission pour les chasses de grenouilles, on a probablement fait des extinctions d’espèces,  au camping Lausanne mais surprenant,  il y ne avait toujours d’autres à attraper;
-	nous étions au chalet au lac David, tous les bons moments dans les parcours à obstacles de Patrice et les combats dans les dunes de sable; 
-	tu fus ébouillanté par une soupe trop chaude au chalet pour une raison obscure;
-	les nombreuses parties, sur mon vieux Gameboy Advance,  dont tu as pris possession;
-	les parents nous amenaient à différents sites de camping aux 4 coins du Québec, on faisait les explorateurs. En fait tu explorais et je te suivais;  
-	tu m’as inclut avec tes amis pour des fin de semaine de jeu inoubliable, moi le petit frère qui faisais trop de bruit, car j’étais mauvais perdant; 
-	on faisait des forts de coussins chez grand père avec cousins et cousines, dont nous attendions ton verdict si le fort était complet; 
-	la fois où on avait passé la fin de semaine chez Patrice,  toi et moi, nous avions eu un excellent séjour, nous étions revenus tout cerné chez nos parents avec le sourire aux joues;
-	tu m’avais défié en course de kayak et que nous étions les deux complètement drainé de nos énergies par la suite car ni un ni l’autre ne voulait donner l’avantage au compétiteur;     
-	je te faisais rencontrer mes amis qui eux aussi avait un penchant pour les jeux que tu aimais, les conversations étaient longues; 
-	tu avais tes oiseaux, ils m’empêchaient de dormir les maudits, car mes soirées étaient longues dû à l’étude; 
-	je faisais les méchants mardi avec mes beautés et chacun te faisait parler un peu, sauf Jo… tu l’intimidais par ta présence; 
-	j’ai tombé des marches en béquille, que mère ne pouvait m’attraper par la ceinture et que toi tu avais tes écouteurs. J’ai tombé face première si proche du coin du mur. Tu as ri un peu avant de me demander si j’allais bien; 
-	je te volais le contenue de ton assiette, chaque fois j’avais peur de perdre un bras;
-	je revenais de l’université et que tu venais à la table pas pour discuter mais pour être simplement présent. J’en étais content;
-	de la fête à notre mère en 2016, si je me souviens bien, avec l’épisode du click click c****s quand elle avait apprécié le vin blanc. Je ne t’ai jamais vu autant rire. J’avais un vidéo que malheureusement je n’ai plus mais je m’en souviens comme hier; et
-	en septembre 2017, j’ai amené Mélissa pour la première fois dans la famille. Instantanément, tu es allé lui parler et les tours ont  suivie. Elle se senti accueillit par tout le monde incluant toi ma montagne de grand frère. 
Des souvenirs ils y en a plus que je peux écrire. Nous le savons tous car tu as été une personne animé de ton humour de professionnel silencieux. Tu as créé des liens importants avec un large éventail d’individu autant dans ce pays qu’ailleurs. Tu as été mon premier ami, mentor, rival. Je suis la personne que je suis grâce à toi et la famille. Tu m’as appris des leçons dures comme celle de la résilience et de la persévérance.  
Mon frère je t’ai pleuré. Maintenant je tiens au nom de la famille, de tout tes amis et des personnes à qui tu as pu faire une différence positive dans la vie un simple Merci mais venant d’un millier de voix différentes. 
Sois la force qui guide mes pas vers des épreuves que peu ne doivent subir. Sois présent lors de mes bons coups comme les mauvais. Ton enveloppe physique n’est plus, maintenant tu es symbole. Mon cœur est grand et fort, trouve s’y ta place pour continuer à voir le monde par mes yeux...    


P-O, 
Même si nous t'avons rencontré qu'une seule fois, cela a suffit pour comprendre pourquoi tes parents étaient si fiers et plein d'amour pour toi. Jean-Pierre a tellement raconté d'histoires et d'anecdotes à Yvan le matin en arrivant au travail que c'est comme s'il te connaissait. Nous savons à quel point tu étais aimé. Veille sur ta famille, elle aura grandement besoin de ta bienveillance. Nos plus sincères condoléances. Kate et Yvan xxx

Tout cela n'est qu'une intermède. Nous nous reverrons, vieux-frère...

Chère Danielle ,la mort de Pierre-Olivier m'a attristée .Nous allons rendre un hommage à un homme exceptionnel. Je ne l'ai jamais rencontré mais d'après les témoignages il était aimé de tous. Je me souviens Danielle quand nous prenions nos petites pauses ensemble et nous parlions de nos enfants. La vie se montre une fois de plus injuste. Julie, Bruno, Jean-Pierre ,Danielle et aux proches je vous adresse également toutes mes pensées et mes condoléances .De Chantal xxx

Ce fut une nouvelle foudroyante! On te connait depuis toujours. Tu es arrivé 8 jours avant mes filles. Ta mère était fière. On a fait des tas d'aventures ensemble. Tu jouais si bien avec les filles. Tu étais unique. Les filles étaient toujours contentes de te voir. Quand on allait voir PO, c'était comme une fête. Tu étais toujours très présent, prêt à rendre service, à aider dans la cuisine, au déménagement de Fred. On était fier de toi et très content d'avoir un électricien dans la famille. Tu jouais, riais, courais avec mes filles et vous étiez si heureux. Tu vas vraiment nous manquer.


Un tragique  accident a pris la vie de Pierre-Olivier.  Ayant  étroitement grandi avec Félix depuis près de 20 ans  on l’a considéré comme un fils. 

PO: On t’a vu devenir un homme et prendre ton envol. Tant de fins de semaine passées ensemble au chalet. Tu nous concoctais des drinks spéciaux, fendais notre bois, ... Nous garderons un souvenir impérissable du bel homme que tu étais, attentif aux autres, tellement avenant. Ton sourire en coin, si caractéristique, reste gravé dans notre mémoire. Xxx

Avec tristesse que je perd un trés bon collègue,toujour près a rendre service ou a te sortir du trouble.Salut Pierre-Olivier et merci.

Bruno

P-O, nous pensons fort à toi.
Tu nous a fait vivre de beaux moments.
Selon moi, ce n’était pas ton heure.
Nous t’aimions fort. France t’aimait vraiment fort 😢😢😢



P.O…Si on pleure ton départ aujourd’hui, on va aussi continuer de sourire en pensant à tous les bons moments passés en ta compagnie, des films d’horreur aux aventures au chalet (les courses de grenouille, le pit de sable…), en passant par les rencontres annuelles de famille – et celles plus improvisées -- le paintball, et tellement plus. Toujours à l’écoute et un petit sourire de tannant aux lèvres, parfois un peu grognon le matin, ou devant une assiette de poisson, mais toujours fiable, une présence réconfortante et fiable. J’espère que tu continueras de garder un œil sur nous d’où tu te trouves. Mes très sincères condoléances à Danielle, Jean-Pierre, Bruno et Julie.

Repose en paix cher cousin.


Pierre-Olivier, notre fils tendrement aimé, tu nous as quittés. Nous t’avons tenu dans nos bras pour la première fois le 10 juin 1990, et comme les enfants nous sont prêtés, nous ignorions que l'échéance serait le 29 décembre 2017. Tu es telle une comète qui passe trop vite. 
Tu as été un enfant sublime, charmant et tellement aimant qui devint au fil des ans, un homme merveilleux tant par ta gentillesse, ta tendresse, ton écoute, ta fine intelligence, ton sens de l'humour, l'amour que tu nous portais à tous, ta loyauté, ton support moral et combien d'autres choses. 
Toi, notre FORCE TRANQUILLE à Jean-Pierre et à moi, Danielle, tu nous manque tellement ainsi qu'à ta sœur Julie et à ton frère Bruno. Tu laisses un trou béant dans notre famille et il ne sera jamais comblé. Tu manqueras à tout tes ami(e)s sans exception, surtout à tes vieux amis de bientôt 20 ans. Au travail, tu manqueras à tes collègues, car tu es un bon travailleur, assidu et attentif.
 On se reverra dans un autre monde, j'en suis certaine et en attendant veille sur nous tous, assis bien sagement sur ton nuage. Nous t'aimons pour l'éternité. Gros bisous mon beau P.O. d'amour.
Maman et papa, x x x 



Jean-Pierre et Danielle,

Si la vie nous donnait réponse à tous nos pourquois, nous pourrions passer à d autres étapes plus allègrement.  Malheureusement ces réponses n existent pas ... seul le temps et les bons souvenirs viennent un moment donné à bout de nos peines.  Faut rester forts et unis .... Mes pensées vous accompagnent xx

OBITUARY

Pierre-Olivier Baril

10 June, 1990 – 29 December, 2017

Les Salons Funéraires Guay

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